Nous étions 2 chercheurs d'or, dans un carbet sur l'aprouage. Que de la poudre ! Il faudrait descendre plus bas. Grâce au guide Brésilien, nous avons pu voir des chercheurs d'or à l'oeuvre, en train de démolir la forêt, avec des pompes tellement puissantes. Et des slices plus haut que des maisons. Probablement des illégaux. Nous n'avons pas vu d'or récolté. Il ne le montre pas à des étrangers. On ne sait jamais. Nous n'étions pas attendus. Le Brésilien nous a indiqué le chemin, après nous avoir réveillé une heure avant les autres pour que nous puissions aller voir les orpailleurs. Le guide est resté avec la pirogue. Donc nous avions peu de temps. Ils nous ont montré la façon dont ils séparent l'or avec la mercure, en plein air. La honte !
Votre blog qui était voisin du mien, m'a rappelé de bons souvenirs. Aussi un un peu plus triste, car le copain est retourné une troisième fois dans la même année pour espérer y rester un peu plus longtemps, quitte à être, un peu, illégal en travaillant sur place. Le destin en a décidé autrement puisqu'un poisson scie lui a transpercé la cheville. Revenue en Suisse, il n'avait pas d'assurance donc il n'a pas contacté de médecin, pas d'argent pour faire une greffe sur ce trou béant qui ne devait, bien évidemment pas se refermer tout seul. Revenu en Guyanne, il est mort d'une fièvre foudroyante... dans un pays qu'il adorait.
Nous étions 2 chercheurs d'or, dans un carbet sur l'aprouage. Que de la poudre ! Il faudrait descendre plus bas.
RépondreSupprimerGrâce au guide Brésilien, nous avons pu voir des chercheurs d'or à l'oeuvre, en train de démolir la forêt, avec des pompes tellement puissantes. Et des slices plus haut que des maisons. Probablement des illégaux. Nous n'avons pas vu d'or récolté. Il ne le montre pas à des étrangers. On ne sait jamais.
Nous n'étions pas attendus. Le Brésilien nous a indiqué le chemin, après nous avoir réveillé une heure avant les autres pour que nous puissions aller voir les orpailleurs. Le guide est resté avec la pirogue. Donc nous avions peu de temps.
Ils nous ont montré la façon dont ils séparent l'or avec la mercure, en plein air. La honte !
Votre blog qui était voisin du mien, m'a rappelé de bons souvenirs. Aussi un un peu plus triste, car le copain est retourné une troisième fois dans la même année pour espérer y rester un peu plus longtemps, quitte à être, un peu, illégal en travaillant sur place. Le destin en a décidé autrement puisqu'un poisson scie lui a transpercé la cheville. Revenue en Suisse, il n'avait pas d'assurance donc il n'a pas contacté de médecin, pas d'argent pour faire une greffe sur ce trou béant qui ne devait, bien évidemment pas se refermer tout seul. Revenu en Guyanne, il est mort d'une fièvre foudroyante... dans un pays qu'il adorait.
RépondreSupprimerJe me rappelle aussi les gratins de papayes... A de damner !
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